"Il est des heures, où
Les ombres se dissipent
La douleur se fige
Il est des heures, où
Quand l'être s ' invincible
La lèpre s'incline
Mais
Si j'avais pu voir qu'un jour
Je serai qui tu hantes
Qu'il me faudrait là, ton souffle.
Pour vaincre l'incertitude
Ecrouer ma solitude
Il est des heures, où
Les notes se détachent
Les larmes s'effacent
Il est des heures, où
Quand la lune est si pâle
L'être se monacale
Mais
Je erre comme une lumière
Que le vent à éteinte
Mes nuits n'ont plus de paupières
Pour soulager une à une,
Mes peurs de n'être plus qu'une (...)."
Posté le 28 février 2004.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire