Blogue d'actualite du blogue et d'ailleurs sur le Web... Blogue mémoire en ligne depuis 2003... Précurseur en son genre, ce "blogue de liens" existe depuis la nuit des temps (en âge blogosphèrique). À sa naissance il participa aux grandes lignes de l'infernale blogosphère, puis des remous virtuels le firent tanguer sans arriver à le faire sombrer. Il se retrouva en ces eaux paisibles d'où il vogue désormais sans peine ni tracas...

02 novembre 2003

Qui a dit : le blog est un phénomène addictif ?

Le blog est un phénomène addictif. Il est lieu de souvenirs, d'expression, d'introspection, de recherche de l'autre mais surtout de regard sur soi. En tout cas, c'est ce qui est exprimé à travers le billet de NympheA :
"Pourquoi j'écris autant sur ce Blog? Parce que j'ai un besoin constant de parler de lui. A la longue, ça saoûlerait mes amis, alors devant eux, je joue la fille froide, et je leur mens en leur disant qu'il n'a jamais compté pour moi et que je ne pleure plus. Mais faire semblant, c'est dur, et parfois il m'arrive de craquer dans les bras des personnes qui me sont les plus proches (Marie, Tof...). Je me doute que toutes ces pages (j'en suis à mon 55ème post) consacrées au même gars doivent être lassantes, d'ailleurs personne ne doit l'avoir lu entièrement, mais c'est avant tout pour moi que j'écris, pour me soulager du lourd fardeau de ma tristesse. Je ne veux pas me plaindre, simplement dire tout ce que j'ai sur le coeur. "Tu es ma source d'inspiration, et aussi longtemps que je t'aimerais, je pourrais t'écrire" : cette phrase, c'est lui-même qui me l'a dite dans une lettre, et il n'y a que moi qui l'ai appliquée...
Tout à l'heure, j'ai relu les premiers posts de mon Blog (début juillet), à l'époque où il était toujours là. A la base, c'était un Blog que je lui dédiais pour lui prouver mon amour, mais c'est très vite devenu un lieu où confier mes peurs, et puis je sais qu'il n'y passe jamais. Donc, en remontant à ces tout premiers articles, je me suis rappelée avec mélancolie et nostalgie le temps où il me disait encore de si belles choses... (...)."

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