En France, les initiatives s'organisent : après Lille, Toulouse et Nice qui ont monté leur site Web "flash mob" (mais tous en attente de l'événement !) ; Rennes et Dijon souhaitent organiser un flash mob !
A suivre de près sur les flash mobs en France, le foisonnement de liens et le forum d'expression de NiceMobs.
Du côté de la couverture médias : Courier International parle d'un "Dadaïsme deuxième génération sur le web" en indiquant :
"Mais les "mobbers ne veulent pas être utiles et refusent d'être perçus comme des contestataires. "Je n'aime pas que l’on parle des 'mobs' comme d'un mouvement, parce qu'alors il faudrait qu'on commence à définir des objectifs, des causes. On veut juste que les gens s'amusent, c'est la seule priorité", explique l'organisatrice du réseau de San Francisco au "San Francisco Chronicle"." et VSD honore ParisMobs.
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