Alors, on s'y attarde en débutant par la première page du carnet Web en présence (c'est-à-dire la dernière publiée) puis on se prend à remonter dans les archives frénétiquement pour en dévorer les phrases, les moindres soubresauts, les retournements de situation.
On se prend à partager la vie de l'autre, se dire là, il va sombrer dans la solitude. Parce que c'est inattendu, tout s'éclaire alors, parce que la vie est faite de surprenant, de rencontres, de futilités qui sont si essentielles.
Tout ce que j'ai décrit là, je le dis pour ce blog entrevu hier soir, dévoré en quelques minutes et ses phrases ne semblent depuis lors plus me quitter, agencées avec soin, le mot exact, la fluidité des articles... Rien n'est en trop... Et c'est beau, très beau : Nin - Une certaine vision des choses.
Pourquoi ne pas le dire lorsque l'écrit vous touche ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire