Selon une étude intitulée "Les Français et l'internet : le déclic ? ", 50 % des Français non connectés seraient prêts à rejoindre le réseau des réseaux dans un avenir proche : 19 % d'ici moins d'un an et 31 % à une échéance plus éloignée.
Le facteur prix (57 % des réponses) et le besoin d'accompagnement pédagogique (44 %) arrivent en tête des priorités.
45 % des non-connectés demeurent "méfiants" - essentiellement parmi les tranches d'âge les plus élevées.
Les personnes disposant de revenus modestes ont besoin qu'on leur démontre ce que l'internet pourrait concrètement leur apporter avant de se lancer.
Une nouvelle vague d'internautes français ? source citée : Internet Actu.
On comprend bien que toute augmentation du nombre des internautes soit comprise comme une évolution positive vers cette société de l'information à laquelle les weblogs doivent finalement leur apparition.
Mais suffit-il d'être connecté pour réduire la "fracture numérique" ? On pourrait nous rétorquer que celui ou celle qui téléphone ne se pose pas la question de savoir s'il communique, et que la question n'a pas de sens.
Mais à bien lire ceux qui se penchent sur la question de la fracture numérique, on se rend compte que c'est beaucoup moins simple qu'on pourrait le penser à priori.
Quelques liens sur la "fracture numérique" et sur l'utilisation d'Internet
- Fracture numérique : proposition de définition thetransitioner.org
- Table ronde fracture du savoir Autrans 2004 et le résumé de la table ronde « Territoires, réseaux et fossé des connaissances »
- Enjamber la fracture numérique Nord Sud par Alain Ducass
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