Blogue d'actualite du blogue et d'ailleurs sur le Web... Blogue mémoire en ligne depuis 2003... Précurseur en son genre, ce "blogue de liens" existe depuis la nuit des temps (en âge blogosphèrique). À sa naissance il participa aux grandes lignes de l'infernale blogosphère, puis des remous virtuels le firent tanguer sans arriver à le faire sombrer. Il se retrouva en ces eaux paisibles d'où il vogue désormais sans peine ni tracas...

10 mars 2004

Pas si cacochyme que ça…

Puisque Jean-Luc nous fait l'honneur et le plaisir de laisser ouverte cette tribune et que j'ai un peu de temps et de motivation, je vais en profiter pour faire partager une découverte bloguesque… N'oublions pas que c'est le sujet principal du lieu, après tout.

J'ai déjà publié ces quelques lignes et d'autres sans doute. Mais il me semblait que c'était ici un bon endroit pour radoter…

J'ai découvert un nouveau (pour moi) blog dont le premier billet que j'ai lu m'a rendu immédiatement l'auteur sympathique. Il s'agit, scan à l'appui, de l'interview d'une de ces nouvelles pouffiasses que la télé nous fabrique à la chaîne en ce moment.

Humour, pertinence, style agréable et surtout français de qualité font partie des qualités rares de nos jours, qui font de ce blog une visite que je recommande. Je ne résiste d'ailleurs pas à l'envie de vous livrer un extrait, pour vous donner envie :

" (…) Du coup, je vais me venger un peu sur le public de la séance de 20h25 de la salle 9 de l'UGC Ciné Cité des Halles. Ami lecteur, si tu faisais partie de cette assistance, il y a de grandes chances pour que tu sois un trou du cul. Parce que bon, avec ma copine Lindsey-Virginie (qui gueule parce que je la cite jamais sur ce blog, essentiellement parce que j'ai un peu honte de son prénom composé), on a trouvé ça assez surréaliste comme ambiance. Je sais bien que c'est les vacances, et c'est d'ailleurs pourquoi je suis prêt à passer l'éponge pour les coups de genou dans le dossier de mon fauteuil et les grognasses qui mangent des pop corns la bouche ouverte pendant le film, mais ça n'explique pas l'état d'hystérie collective du public de cette séance. (…) "

Première visite, donc, mais certainement pas la dernière.

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