Ils ont identifié cinq raisons principales de blogguer : 1) l'auteur raconte sa vie; 2) il expose des opinions et fait des commentaires; 3) il exprime ses sentiments profonds; 4) il approfondit ses idées en écrivant; 5) il crée et s'occupe de communautés ou de forums.
Les auteurs précisent que ces activités ne sont en aucun cas exclusives les unes des autres, et que généralement, un même auteur en combine plusieurs.
Repéré, le paragraphe sur "blog as muse": thinking by writing" : "He woud have liked writing book reviews for magazines, but for the moment, blogging gave him at least a small audience and a chance to prove myself that I can do it".
Jusque là, rien que de très ordinaire. Ce qui l'est moins, c'est l'aveu de la tyrannie de l'audience.
L'étude affirme que le nombre des lecteurs augmentant, le webloggueur a une forte propension à délaisser la muse pour le compteur.
Dès l'instant où le webloggueur a installé un compteur d'audience sur sa page, il se surprend à le surveiller souvent, puis très souvent, et plus en plus souvent.
A l'évidence, il y a un long chapître, sinon un article entier à écrire qui pourrait s'intituler "counting by writing".
Un dessin célèbre du New Yorker avait cette légende : "on the net, nobody knwows you're a dog".
Jusqu'à quand trouverons-nous normal qu'un chien fasse de l'audience ?
Sans doute quand on découvrira qu'il parle.
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