"Sérieusement, qui est-ce qui veut réellement partager ses meilleurs contacts avec n'importe qui, de façon automatisée?
(...)
En effet, c'est quoi cette histoire d'être ami avec tout le monde?
(...)
Dans mon réseau, personnel, social, d'affaire, il existe plusieurs gradations, et bizarrement (ou non après tout), la classification se fait selon l'endroit ou je garde l'information relative à chaque lien social et la manière d'entrer en contact... en ordre d'importance inverse..." et Sylvain Carle en dresse sa liste.
Plus tard, il revient sur un point très important qui plairait tout particulièrement aux anthropologues et aux chercheurs de l'Ecole de Palo Alto :
"(...) J'ai été surpris de constater comment mon réseau social s'organisait naturellement sur celui-ci. Plus une relation est intime, plus l'information devient importante, plus celle-ci est gardée physiquement près de moi..."
Je souscris tout à fait à l'avis de A frog in the Valley : il y a un besoin de personnalisation du contact. Or cette personnalisation ne peut pas s'établir uniquement via des logiciels sociaux. Les cercles d'influence, les relations sociales non virtuelles sont facilitatrices de contacts. Si le premier contact peut s'établir via ces plate-formes, reste à qualifier et à quantifier dans les faits ce qu'il en est des projets menés à terme, des résultats même de ces solutions... Et là, c'est soudainement beaucoup plus nébuleux ;-)
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