Sébastien Bailly auto-critique dans un billet de ce jour son ouvrage Bien écrire pour le Web (textes, images, publicités) publié en avril dernier en France chez Osman Eyrolles Multimédia.
Il donne au passage quelques conseils avertis :
"(...) Jakob Nielsen, l'un des « gourou » américains du sujet va plus loin encore en expliquant que les internautes ne lisent pas en ligne, mais « scannent » les pages. Ainsi, 79% des utilisateurs " scanneraient " toujours une page en arrivant dessus et seulement 16% la liraient " mot- à- mot ". Mais cela s'explique en partie si l'on considère qu'en effet une grande partie du temps passé sur Internet est consacré à la recherche d'information. Avant de lire une page sur laquelle je me rends, je veux m'assurer qu'elle contient bien les informations qui m'intéressent, sinon, évidemment, je passe à autre chose ! Il est donc essentiel de permettre aux pages que l'on met en ligne d'être « scannées » par le lecteur, pour qu'il sache de quoi il est question. Mais on ne doit pas pour autant oublier les 16 % qui lisent ! C'est aussi, et surtout, pour eux que l'on écrit, non ?"
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