Le Journal a beau l'air être en sucre, les vers de Louise Labbé fondent en langueur et en larmes brunies par la terre ocre. La destinée de l'homme se perd...
Outre-Atlantique, l'insignifiance d'une jalousie d'un blog collectif contre un autre blog collectif ; à quoi cela rime-t-il ? A quoi bon tant de fiel ? L'argent, la finance, le système qui cherche à vous ébranler...
La nuit se fait brûlante, les corps dans la vie et cette explosion de jeux : c'est le cirque comme un écho de soi partagé avec les autres : "J'ai appris à jongler. Avec des balles et des cerceaux. Puis avec les quilles. Et puis il y a eu ce voyage scolaire dans le sud. Nous étions des vrais balladins. Costumés, nous nous produisions à Carcassonne. Là bas, j'ai rencontré un automate. Une belle rencontre. Il me semblait sorti d'une autre époque. Il ne clignait pas des yeux, ne respirait pas. Beauté brute, d'un corps parfaitement maitrisé."
Terminé. Ceci est terminé. Etienne s'en est allé :
"Gainsbourg disait que la chanson est un art mineur. Sans doute avait-il raison. A dire la vérité, je ne sais pas...
Ma famille musicale se situe du côté des anars boiteux et des canards douteux...
Pourtant certains d'entre eux pour moi sont des poètes."
"Cette nuit... Puissent nos différences rassembler ce que nos indifférences divisent."
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