"Je vis dans la désolation de cette rue
depuis ton départ
Solitude et tristesse me tiennent compagnie
Pour toi
je pourrais mourir
je pourrais mourir
je pourrais mourir
je pourrais mourir
je pourrais mourir
je pourrais mourir
Un oreiller de plomb
une couverture de pierre
je tourne sans cesse
sans jamais trouver le sommeil
je ne me fais pas à la solitude"
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire