"Arnaud, tu as choisi de te suicider, de laisser une cassette vidéo à tes parents pour leur dire que tu les aimais et qu'ils t'avaient tout donné.
Tu avais vingt ans, une famille qui t'entourait de ss tendresse et de son confort. Tu avais vingt ans et dimanche dernier tu t'es tiré une balle dans la tête, dans ta chambre, en ayant programmé ta mort comme si cétait ton seul projet de vie et sans laisser le moindre indice à tes proches pour dicuter avec toi de ce choix.
Arnaud, as-tu vu pleure ta mère depuis dimancher ? As-tu le regard de ton prère qui ne voit plus tellement il est recroquevillé sur sa douleur ? As-tu vu ta soeur qui porte comme une trahison ta décision sans appel ni recours ? As-tu vu tes grands-mères qui ne vient plsu de savoir leur ptit-fils mort avant elle ? As-tu vu des copains de classe, de basket,ces grands gaillards pleurer comme des enfants à tes obsèques en découvrant brutalement que la mort peut tout prendre, tout détruire y compris l'espoir de tes vingt ans ?
(...)
Et pourtant, il en faut du désespoir et de l'angoisse pour programmer ainsi sa mort durant des semaines. Il en faut de la solitude et de la peur pour ne plus pouvoir appeler sa famille, ses amis à l'aide afin de dépasser les difficultés de la vie quotisdienne, ses échecs et ses ratages."
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