"En résumé, la question n'est pas de savoir comment un siège devrait se transformer en banquette "pour les pauvres", mais si la société permet à toute personne, au nom du respect de la dignité humaine, d'étendre son corps pour le reposer.
Et rien ne permet de dire que la règle soit que ce "droit" s'exerce de façon inédéquate dans des liens qui n'y sont pas destinés, avec un confort minimal généreusement dessiné par des ergonomes compatissants."
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