"Ce document est "pour l'essentiel sous tendu par l'idée que le peer-to-peer serait la cause essentielle de la crise du disque", observe l'organisme dans un communiqué. "Cette approche se traduit par une priorité mise à la répression dans des conditions inacceptables (punitions pour l'exemple, sanctions privées contractuelles), pour ne pas dire douteuses sur le plan juridique".
(...)
Pour le président de l'organisme, Alain Bazot, "il est profondément regrettable que l'occasion ait été manquée d'amorcer enfin une réflexion sur la possible légalisation du P2P, assortie d'une juste rémunération des ayants droit. Au lieu de cela, seuls des intérêts catégoriels sont préservés, au mépris des potentialités qu'offrent les nouvelles technologies à l'universalité des consommateurs"."
Voilà qui remet les idées en place!
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