Blogue d'actualite du blogue et d'ailleurs sur le Web... Blogue mémoire en ligne depuis 2003... Précurseur en son genre, ce "blogue de liens" existe depuis la nuit des temps (en âge blogosphèrique). À sa naissance il participa aux grandes lignes de l'infernale blogosphère, puis des remous virtuels le firent tanguer sans arriver à le faire sombrer. Il se retrouva en ces eaux paisibles d'où il vogue désormais sans peine ni tracas...

10 décembre 2003

Le billet du jour

Du blog Les Mers Veillées :
"Que la nature a mal doté les femmes au niveau anatomie. Franchement parfois je voudrais être un homme pour avoir la facilité de soulager mes besoins primaires avec rapidité !
Il faut vraiment dire que pour ce qui est des (petits) besoins, l'homme est appareillé d'un outillage simple et efficace qui lui permet en tous lieux (quasiment) de s'épancher. Il lui suffit de trouver un coin et hop… sortie de l'objet en question et en 15 secondes l'histoire est torchée !
Alors que la femme elle, est obligée de se dévêtir un minimum et par là même de mettre à nue toute son anatomie… du moins une grande partie !
En période estivale ça reste encore possible pour la femme de trouver un petit coin plus ou moins abrité des regards, mais dès que “la bise fut venue” cette technique est beaucoup moins appropriée à moins de vouloir avoir le derrière congelé –même si somme toute, cela vaut toujours mieux que “d'avoir le feu au c..” (passez moi l'expression!) – et d'attraper froid par en bas !
Si l'on rajoute à cela, la faible capacité féminine concernant l'absorption de tous liquides, il va de soi que ça n'arrange en rien le problème. Il faut à ce moment là, avoir un bon sens de l'imagination - dès lors que l'on est en plein air- pour trouver un lieu propice à l'épanchement de ce trop plein de liquide. Ce problème ne se pose pas en milieu urbain où les lieux d'aisance (pas sûre du terme là) sont bien plus nombreux, mais peut quand même donner lieu à des situations des plus cocasses du style “chéri, j'en peux plus faut me trouver des toilettes dar dar” et à retrouver la dame en question 5 minutes plus tard dans un coin de parking (ou autres) en train de se soulager… Ceci est un exemple sorti de mon imagination et je tiens à préciser qu'il ne fait pas partie de mon expérience ! (pas encore !) (...)."

Posté le 10 décembre 2003.

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