"Souvent je pense à elle, bien qu’elle n’en croie pas un mot. Les mots des textos ont remplacé ceux au creux de l’oreille, quand bien même ils sont au creux de l’oreille, ce n’est pas un souffle tiède qui les y porte, non ce n’est rien d’autre que le combiné du téléphone (...)."
Posté le 4 septembre 2003.
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