Hier, Netlex commentait le projet d'une nouvelle taxe sur les abonnements internet (après la taxe sur les CD vierges) proposée par les sociétés d'auteur (Adami et Spedidam). Mais la légalisation du P2P moyennant une taxe est-ce bien gérable à l'échelle transnationale où se font les échanges ? Et cette taxe profitera-t-elle réellement aux artistes ?
Avant-hier, l'association ODEBI lançait un nouvel appel au boycott contre l'industrie phonographique pour s'opposer au principe de la redevance sur la copie privée qu'elle considère comme un racket, ainsi qu'à l'usage des technologies (DRM) qui limitent l'accès aux musiques achetées par le consommateur.
Le 25 septembre WeBlogs P2P & NTIC attirait l'attention sur les différents modes de vente de musique en ligne : par carte de crédit via internet, ou par cession d'unités SMS via le téléphone portable. Le second mode de paiement revient deux fois plus cher. Remarquons que cela pénalisera surtout les très jeunes consommateurs qui ne disposent pas de carte de crédit.
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