Sur le journal en ligne, Social.Iran.emrouz hébergé en allemagne, le "Docteur" Amir Hossein Khanadji doute de la véracité de la pendaison de Atefeh Rajabi (sur laquelle, faut-il le rappeler, de nombreux détails extrêmement précis, ont été fournis dès le 19 août par l'agence d'information de la résistance iranienne, ainsi que par les journalistes de Peyk-e Iran et ceux de radio-fardâ qui se sont donnés la peine d'aller recueillir les témoignages des habitants de la petite ville de Neka dans le Mâzandarân)*.
L'assommante argumentation de ce "docteur" est exclusivement basée sur l'interprétation du coran, et le rappel détaillé des Hadith (jetez un coup d'oeil sur l'article, vous reconnaitrez les citations coraniques au milieu de sa glose indigeste).
Tout son propos se résume à soutenir que cet évènement n'a pas pu avoir lieu, car le châtiment de pendaison n'est pas prescrit par le coran dans le cas d'une "faute" occasionnelle. Et c'est tout ! Cela revient à dire : ce n'est pas vrai (réél), parce que c'est injuste. Evidemment, il a oublié de mentionner l'impertinence de Atefeh qui lui a valu l'acharnement du juge, le calamiteux Hâdji Rezâ qui a poussé le vice jusqu'à lui mettre la corde au cou de ses propres mains.
Sur le même site, un article de Tarâneh Bani Ya'ghoub et Farideh Ghaneb, fait état de la progression des fugues de jeunes filles iraniennes : Le nombre de jeunes filles fugueuse s'est multiplié par 20 depuis 1978.
* je ne veux pas vous assommer avec les détails sordides et une foison de liens, mais si vous y tenez, je peux vous les fournir.
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